Julien Denormandie, actuel secrétaire d’État et participant de la campagne de Macron, aurait rangé des chaises à la fin des meetings de son candidat. C’est ce qu’il affirmait dimanche à la télévision pour justifier les magouilles de Macron durant sa campagne électorale, pendant laquelle on constate que la société (GL Events) qui organisait ses meetings lui a fait des « remises » substantielles (parfois -100 %).
Quand une entreprise qui réalise un milliard d’euros de chiffre d’affaires fait des cadeaux à un futur président, ça ne se compte pas en nombre de chaises déplacées.
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