En voyage en Irak au nom de la lutte contre le terrorisme, Macron s’est félicité d’avoir coorganisé un « sommet régional » en réussissant à mettre autour de la table le dictateur égyptien al-Sissi, le roi Abdallah II de Jordanie ainsi que des représentants de la Turquie, de l’Iran et de l’Arabie saoudite. Que des fins spécialistes en matière de démocratie ou de féminisme !
Mais rien de gênant pour Macron qui cherche surtout à profiter de la débâcle américaine en Afghanistan pour pousser les pions des intérêts français dans la région.
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