Le RIP est une procédure de tortue : 9 mois pour récolter 4,7 millions de signatures, 6 mois pour que le Parlement débatte, et enfin 2 ou 3 mois pour préparer le vote. Cela permettra aux députés de ronronner pendant 18 mois… jusqu’à la prochaine élection présidentielle.
Les travailleurs d’ADP risquent de subir, au prétexte du changement de statut, des pertes d’emploi et une dégradation des conditions de travail. Ils ont tout intérêt à ne pas attendre 18 mois face à ces menaces !
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