Après Renault la semaine dernière, c’est au tour de Peugeot d’être mis en examen en raison de « faits de tromperie » portant sur la vente de véhicules diesel entre 2009 et 2015. Le tour de Citroën arrive, et pour Fiat, ce sera en juillet. Pour le moment, seul Volkswagen a reconnu, en 2015, avoir installé des logiciels truqueurs pour diminuer artificiellement la quantité de polluants dégagés pendant les tests d’homologation.
Bref, des menteurs et des empoisonneurs, des capitalistes en somme.