Air France est en passe de décrocher 10 milliards d’euros de prêts couverts à plus de 90 % par les États français et néerlandais, et qui pourraient bien se transformer en subventions pures et simples. Dans le même temps, la direction annonce… un plan de départs volontaires. L’argent public doit servir à maintenir les profits, pas les emplois, dit-elle en substance.
Pour nous, c’est exactement l’inverse. Et il faudra peut-être en passer par un « plan de départs » pas volontaire… des capitalistes.
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