On connaissait les affaires d’emplois fictifs d’assistants parlementaires européens du Front national. On a parlé des détournements d’argent public en France par surfacturation de kits de campagne électorale (remboursés par l’État). Et voilà que la justice se demande également si les sommes rondelettes versées à l’entreprise privée « Carré français » en Italie, dirigée par des proches de Marine Le Pen, et à une autre société civile immobilière appartenant au conseiller régional FN Axel Loustau, ne sont pas non plus l’argent des contribuables.
« Mains propres et tête haute », clamait un vieux slogan du FN. C’est plutôt : « aboule le fric. Haut les mains ! ».
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