Lors d’un échange sur Instagram, une adolescente a envoyé balader son interlocuteur, son dieu et sa religion en utilisant un langage fleuri. Réaction à chaud de Nicole Belloubet, ministre de la Justice : « L’insulte à la religion, c’est évidemment une atteinte à la liberté de conscience, c’est grave ».
Ben non, le blasphème n’est plus un délit, et c’est tant mieux. Nous sommes quand même nombreux à être les pires des blasphémateurs, en allant jusqu’à nier l’existence même d’un dieu dont nous n’avons plus besoin pour expliquer le monde. Une opinion que l’on peut fort heureusement exprimer aujourd’hui sans prendre le risque de se faire arracher la langue !