Ce n’est pas à nous de payer la crise sanitaire
11 mai 2020 Brèves d’entreprise Entreprises
À partir du 11 mai nous serons à nouveau nombreux au travail. Il ne faudra pas attendre pour se réunir, sans se contaminer, et discuter entre cheminots de la nécessaire riposte aux attaques qui pleuvent : vol d’un sixième jour de congé, menaces de suppressions de postes, etc.
Oui, il faut reprendre au plus vite le chemin de la lutte pour nos revendications : des moyens pour les mesures sanitaires, interdiction des licenciements, réduction du temps de travail et augmentation générale des salaires !
Mots-clés : SNCF