La réforme de l’orthographe engagée depuis 25 ans fait couler de l’encre avec la montée au créneau de la droite : elle s’érige en sauveur de l’accent circonflexe et accuse le gouvernement de sacrifier les « racines » de la France, son être et son âme.
Ces entêtés de l’orthographe, sont des ânes.
Car au lieu de mettre ou pas l’accent sur les u, les i ou les a, il serait plus sûr de le mettre sur… la nécessité d’en finir avec les suppressions de postes de maîtres et les surcharges des classes. Avec ou sans chapeaux, on aurait tôt fait de voir remonter le taux des copies sans fautes.
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