Le 21 décembre à Djibouti, la police du dictateur Ismaël Omar Guelleh a ouvert le feu sur les participants à une cérémonie traditionnelle, faisant 30 morts, puis a tiré sur un rassemblement de partis d’opposition, tenant une réunion de crise suite au précédent massacre.
La France s’est contentée de faire part de son « inquiétude » face à ces violences, puis a renvoyé de son hôpital militaire un des blessés de l’opposition qui venait s’y faire soigner. Sa demande d’asile politique en France n’a à ce jour pas de réponse...
Le vaste terrain militaire que la France possède à Djibouti vaut bien qu’elle s’asseye sur la démocratie !
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