La semaine dernière 19 étudiants sont intervenus à leur Conseil d’administration pour s’insurger contre la mise en place de la sélection à l’université. Le président appelle aussitôt la police et les étudiants, menottés, sont traînés au commissariat pour y subir une garde à vue de 24 heures. Ils sont maintenant sous le coup d’une enquête pour séquestration, rébellion et violences volontaires ! Ils risquent de la prison ferme et l’exclusion de l’université.
Ces atteintes à la liberté de protester contre les mesures d’austérité du gouvernement doivent cesser et les étudiants doivent être libérés de toutes les charges qui pèsent contre eux !
Mots-clés : Etudiants