John Kerry, ministre américain des Affaires étrangères s’est rendu le 11 avril à Hiroshima. Il a parlé d’un monde sans armes atomiques.
Mais il n’a pas jugé bon de demander pardon pour la destruction de cette ville japonaise en 1945 par une bombe atomique de l’armée américaine. Il l’a même justifiée au nom de la nécessité de mettre fin à la guerre.
Hier comme aujourd’hui, les grandes puissances n’hésitent pas à utiliser des moyens barbares pour imposer leurs objectifs.
Mots-clés : Impérialisme