Le 26 juillet dernier, le corps d’élite de la garde présidentielle a déposé l’ancien président Mohamed Bazoum. Aujourd’hui, c’est du côté du gouvernement français et de ses alliés qui gouvernent les pays voisins d’Afrique de l’Ouest qu’on entend des bruits de bottes, une menace d’intervention militaire. Car, même si le peuple travailleur du Niger n’a rien à attendre de bon du coup d’État militaire, celui-ci bouscule les intérêts de l’ancienne puissance coloniale française. Comme les renversements récents